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Terre de rencontres et de Révélations, la Turquie est bien plus qu’une mosaïque d’histoires et de paysages.
C’est une autre Terre Sainte, un lieu où l’Évangile s’est enraciné dès les premiers siècles, où Paul, Jean, Pierre et Marie ont marché, prié, enseigné. Des rives de la Méditerranée aux plateaux d’Anatolie, chaque pas devient mémoire, chaque pierre murmure encore la foi des origines.
Avant d’être une destination, la Turquie est une page vivante de la Bible. De Tarse à Éphèse, d’Antioche à la Cappadoce, l’histoire chrétienne s’écrit ici dans la diversité des cultures et des paysages.
On y découvre non seulement des vestiges, mais des lieux de mémoire où la foi s’est formée et transmise.
Originaire de Tarse, Paul est la figure emblématique de cette Turquie biblique. C’est à Antioche de Syrie que les disciples reçurent pour la première fois le nom de “chrétiens”. De là partirent les grands voyages missionnaires vers Iconium, Lystres, Derbé et bien d’autres cités de l’Asie Mineure.
Marcher sur ces routes, c’est revivre la ferveur des premières communautés.
« Malheur à moi si je n’annonce pas l’Évangile ! » (1 Co 9,16)
Éphèse fut un haut lieu de la première Église. Paul y prêcha, Jean y écrivit, et Marie y vécut ses dernières années. Le concile d’Éphèse (431) y proclama Marie Theotokos, Mère de Dieu.
Entre les colonnes antiques et les échos de la Parole, Éphèse rappelle que la foi s’enracine dans le temps autant que dans le cœur.
Plus au centre, la Cappadoce offre un visage monastique et contemplatif. Ses vallées trouées d’églises troglodytiques furent le refuge de moines et d’ermites dès le IVᵉ siècle. C’est la terre des Pères Cappadociens — Basile, Grégoire, Grégoire — qui ont donné à la foi chrétienne ses accents de prière et de théologie.
Devenue Constantinople, l’ancienne Byzance fut capitale de la foi impériale. Son joyau, Sainte-Sophie, est un poème de pierre dédié à la Sagesse divine (Hagia Sophia).
Sous ses coupoles, la lumière semble prêcher la gloire de Dieu :
“La gloire de Dieu, c’est l’homme vivant.” (Saint Irénée)
De la mission de Paul à la prière de Marie, des conciles de Nicée aux fresques de Cappadoce, la Turquie garde la mémoire d’une Église en marche, courageuse et priante. C’est une autre Terre Sainte, celle des origines, du dialogue, de la rencontre. Une terre à parcourir non comme un musée, mais comme une catéchèse vivante.
À Antioche, Saint Pierre aurait prêché avant de partir vers Rome.
Éphèse abrita le concile qui proclama Marie Mère de Dieu.
La Cappadoce compte plus de 1 000 églises creusées dans la roche.
Ici, chaque pierre garde la mémoire de la Parole. Marcher en Turquie, c’est redécouvrir une foi vivante, enracinée dans l’histoire et ouverte sur l’avenir.
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